L'exemple de la Fonderie Horne, payant une somme « dérisoire » pour les grandes quantités d’eau qu’elle puise, met en lumière l'importance de revoir les redevances sur l’eau au Québec.
La redevance sur l'eau, imposée depuis seulement 2010, est inadéquate. La Fonderie avait de l'eau presque gratuitement avant 2010. Au taux actuel, « c’est comme si c’était une ressource qu’on fournissait à l’infini à l’industrie », déplore Émile Cloutier-Brassard, qui souligne que l’eau se raréfie même au Québec, comme en témoignent les pénuries auxquelles font face certaines municipalités du sud de la province.
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