/// Caractéristiques:
- Pompes de capacité de 12 à 20 gallons par minutes
- Pompes de recirculation de 50 gallons par minutes
- Pompes de 7.5 chevaux-vapeur (3500 rpm)
- Un caisson pour une membrane spiralée de 40 pouces de long et de 8 pouces de diamètre
- Capacité de filtration de 600 L à l’heure
- Cuve de 100 à 1000 L
- Préfiltres
/// Échantillons:
- Liquides (effluents, liquides résiduels, fluides, liquides usés, liquides issus de procédés chimiques, etc.)
- Capacité de traiter des liquides par micro-, ultra-, nanofiltration et osmose inverse
/// Exemples d’application:
- Séparation de nanoparticules des sels dissous pour caractériser la teneur en nanoparticules
- Concentration de nanoparticules ou autres nanomatériaux
- Épuration d’effluents industriels
- Séparation, concentration et purification de molécules (organiques ou inorganiques)
/// Autres bancs d’essais disponibles:
- Deux systèmes de filtration avec 2 caissons des membranes spiralées de 8 pouces de diamètre.
- Système de filtration avec membrane spiralée de 4 pouces de diamètre
- Système de filtration avec membrane spiralée de 2 pouces de diamètre
/// Caractéristiques:
- Système de filtration avec trois caissons de 7 membranes céramiques de 110 cm de longueur par 2,5 cm de diamètre (microfiltration et ultrafiltration)
- Capacité de filtration de 150 à 200 L à l’heure
- Cuve de 600 L avec double paroi reliée à un système de refroidissement
- Préfiltre
- Pompe d’une capacité de 3500 rpm maximum (8 chevaux-vapeur)
/// Échantillons:
- Liquides (effluents, liquides résiduels, fluides, liquides usés, liquides issus de procédés chimiques, etc.)
- Volume d’échantillon pouvant être traité 1000 L
/// Exemples d’application:
- Traitement d’effluents industriels
- Séparation, concentration et purification de molécules (organiques ou inorganiques)
- Valorisation de biomasses nuisibles
- Extraction de composés organiques valorisables
- Recyclage de produits usés (polyéthylène glycol, fluides de coupe, huiles essentielles, etc.)
- Séparation de nanoparticules des sels dissous pour caractériser la teneur en nanoparticules
- Concentration de nanoparticules ou autres nanomatériaux.
Le BVE Sainte-Marthe consiste en un ensemble de stations de mesures hydrométéorologiques enregistrant en continu les paramètres clefs liés à l’hydrologie et à la neige. Ces points de mesure sont répartis dans et à proximité de la zone de drainage de l’affluent 29 de la Rivière à la Raquette. Il a une superficie de près de 10 km².
Le complexe de recherche, unique au Canada, est constitué d’un bassin versant expérimental et une rivière expérimentale. D’une superficie approximative de 0,4 ha, le bassin versant a une longueur de 100 m et une largeur variant de 30 m à son exutoire à environ 50 m dans sa partie la plus large. Le fond et les parois sont constitués d’un assemblage de murs de béton et de géomembranes pour assurer une étanchéité complète du bassin. La profondeur du bassin varie entre 3 m à son exutoire à près de 5 m en amont. Le bassin est rempli d’un sol mélangé prélevé à même le site et constitué de till, de sable et gravier avec hétérogénéités spatiales. Un système de collecte des eaux souterraines, doté de conduites d’évacuation et de vannes, permet de contrôler la nappe. On y retrouve un ensemble d’instruments et de capteurs : pluviomètres, sondes d’humidité du sol, piézomètres, tensiomètres, lysimètres, station météorologique et analyseur de manteau neigeux qui permettent de fournir un portrait détaillé des variables d’état et flux dans le bassin versant. La rivière expérimentale est constituée d'un canal fluvial dynamique de 3 m de large et 50 m de long avec une pente initiale de 0,5%. Le canal peut serpenter librement dans une vallée de 20 m de large. Le couloir est rempli d'un substrat mobile d'au moins 1 m d'épaisseur qui permet de modifier la forme, la pente, la rugosité et la topographie. Une membrane imperméable est placée sous le lit et les berges du canal pour minimiser les pertes d'eau par infiltration. Le matériau de remblayage est composé d'un mélange de gravier/sable arrondi. La rivière fonctionne comme un système en circuit fermé. L'eau qui circule en boucle, est acheminée par deux pompes centrifuges à vitesse variable totalisant 0,8 m3/s vers un canal d’amenée et un réservoir de tête et s’écoulera dans la rivière expérimentale via un déversoir. La profondeur du débit à l'extrémité aval de la rivière est contrôlée par une vanne d'écoulement, après quoi l’eau se déverse dans un bassin de sédimentation et ensuite vers le bassin de pompage. Les sédiments transportés sont collectés dans le bassin de sédimentation et seront transportés/stockés en amont via le système de recirculation des sédiments.
L’infrastructure sera accessible en priorité aux chercheurs ayant obtenu la subvention ayant permis la construction, dont certains sont membres de CentrEau, ainsi qu’aux chercheurs collaborateurs. Des chercheurs qui ne collaborent pas avec les chercheurs principaux pourront aussi utiliser l’infrastructure. Des frais pourraient s'appliquer.
Le laboratoire d'hydraulique de l'Université de Sherbrooke est un des plus vastes au Canada. Il est utilisé autant pour les cours que pour la recherche ou la réalisation d'expertises. De nombreux montages et plusieurs canaux permettent la visualisation et l'expérimentation de presque tous les phénomènes de l'hydraulique à surface libre et sous pression. On y trouve notamment une pompe de 40 hp, un système de mise en charge, une station de jaugeage, des canaux, de nombreuses vannes et un canal à houle. Les instruments de mesures faisant appel aux plus récentes technologies comme la vélocimétrie doppler acoustique, sont reliés à des systèmes d'acquisition de données informatisées.
Le laboratoire d'hydraulique du département de génie civil de l'Université Laval comporte plusieurs équipements pour reproduire des écoulements à surface libre et en charge. On y trouve notamment une pompe de 40 hp, un système de mise en charge, une station de jaugeage, des canaux, de nombreuses vannes et un canal à houle. Les instruments de mesures faisant appel aux plus récentes technologies comme la vélocimétrie doppler acoustique, sont reliés à des systèmes d'acquisition de données informatisées. Dans le cadre d'activités de recherche, on peut y réaliser des montages spécifiques. Actuellement, on peut y observer un banc d'essai permettant d'évaluer, en vraie grandeur, la capacité hydraulique des grilles d'égout pluvial.
Le laboratoire d'hydrogéologie de l'Université Laval dispose de l'équipement nécessaire pour mesurer les paramètres hydrauliques de base dans des échantillons de matériaux meubles, soit la conductivité hydraulique saturée, la porosité et la courbe de rétention d'eau des sols partiellement saturés. Il est également possible de réaliser des essais de traçage de solutés sous forme dissoute afin de déterminer les paramètres de transport d'un milieu poreux.
Ce laboratoire sert notamment à la réalisation de travaux de recherche portant sur la compréhension du devenir environnemental des matériaux énergétiques. Le laboratoire comprend deux bacs expérimentaux dont la taille permet de réaliser des expériences de restauration se rapprochant des conditions de terrain, mais sous des conditions expérimentales contrôlées. Ces bacs peuvent contenir de 4 à 9 m³ de sols provenant de sites contaminés ou de sols propres auxquels des contaminants spécifiques peuvent être ajoutés.
Ce laboratoire vise le développement de techniques électrolytiques et de procédés oxydatifs afin d’améliorer les systèmes de traitement des eaux usées municipales et industrielles ou remplacer les technologies conventionnelles peu efficaces pour enlever les contaminants organiques réfractaires, inorganiques et microbiens. Il comprend 4 installations : a) Unités de traitement et de pilotage de type laboratoire, b) Unités d’instrumentation de type analytique, c) Montage des unités, stockage des réactifs, installation de fours et de balances, et d) Labo lourd (unité de pilotage préindustriel)
Ce laboratoire pilote offre à la communauté scientifique et à l’industrie son expertise multidisciplinaire et ses équipements de pointe pour le développement et la mise à l'échelle de procédés de fermentation ainsi que la récupération, la purification et la caractérisation de divers dérivés microbiens. Sa vocation première est la R&D dans le domaine des biotechnologies, et tout spécialement les produits à valeur ajoutée utilisant des résidus putrescibles comme matière première.