Le BEREV a pour objectif de caractériser le cycle de l'eau et les flux de surface (énergie, eau et carbone) en milieu boréal afin d'accroître notre compréhension des processus hydrologiques et hydrométéorologiques en présence de neige abondante, en support à une meilleure modélisation et à de meilleures pratiques forestières. Le BEREV dispose notamment d'équipements micrométéorologiques au-dessus de la canopée. Visionnez le webinaire explicatif du BEREV : https://youtu.be/-bbwMuuYLYg
Le principal équipement permettant de caractériser les propriétés physiques et géochimiques des aquifères est une foreuse spécialisée Geotech 605. Avec les données recueillies, il est possible de modéliser l’écoulement de l’eau et le transport des contaminants dans les aquifères. Il est également possible d’évaluer la vulnérabilité des aquifères à la contamination, de déterminer les modalités de protection et les modes d’exploitation les plus adaptés en vue d’une gestion durable de la ressource en eau souterraine. Cette foreuse sur chenille dispose d’un système d’enregistrement en temps réel des réponses mécanique et électrique des sols. Elle permet aussi l’échantillonnage du sol ou de l’eau souterraine par l’installation de puits d’observation. Le système possède deux têtes de forage, une pour les sondages par enfoncement (pénétration au cône) dans les dépôts meubles, et une autre munie d’un marteau hydraulique pour les sondages par rotopercussion jusqu’à 50 m dans le roc et les dépôts meubles selon les conditions.
Le laboratoire d'hydraulique de l'Université de Sherbrooke est un des plus vastes au Canada. Il est utilisé autant pour les cours que pour la recherche ou la réalisation d'expertises. De nombreux montages et plusieurs canaux permettent la visualisation et l'expérimentation de presque tous les phénomènes de l'hydraulique à surface libre et sous pression. On y trouve notamment une pompe de 40 hp, un système de mise en charge, une station de jaugeage, des canaux, de nombreuses vannes et un canal à houle. Les instruments de mesures faisant appel aux plus récentes technologies comme la vélocimétrie doppler acoustique, sont reliés à des systèmes d'acquisition de données informatisées.
Le laboratoire d'hydraulique du département de génie civil de l'Université Laval comporte plusieurs équipements pour reproduire des écoulements à surface libre et en charge. On y trouve notamment une pompe de 40 hp, un système de mise en charge, une station de jaugeage, des canaux, de nombreuses vannes et un canal à houle. Les instruments de mesures faisant appel aux plus récentes technologies comme la vélocimétrie doppler acoustique, sont reliés à des systèmes d'acquisition de données informatisées. Dans le cadre d'activités de recherche, on peut y réaliser des montages spécifiques. Actuellement, on peut y observer un banc d'essai permettant d'évaluer, en vraie grandeur, la capacité hydraulique des grilles d'égout pluvial.
Le laboratoire d'hydrogéologie de l'Université Laval dispose de l'équipement nécessaire pour mesurer les paramètres hydrauliques de base dans des échantillons de matériaux meubles, soit la conductivité hydraulique saturée, la porosité et la courbe de rétention d'eau des sols partiellement saturés. Il est également possible de réaliser des essais de traçage de solutés sous forme dissoute afin de déterminer les paramètres de transport d'un milieu poreux.
Ce laboratoire sert notamment à la réalisation de travaux de recherche portant sur la compréhension du devenir environnemental des matériaux énergétiques. Le laboratoire comprend deux bacs expérimentaux dont la taille permet de réaliser des expériences de restauration se rapprochant des conditions de terrain, mais sous des conditions expérimentales contrôlées. Ces bacs peuvent contenir de 4 à 9 m³ de sols provenant de sites contaminés ou de sols propres auxquels des contaminants spécifiques peuvent être ajoutés.
Ce laboratoire vise le développement de techniques électrolytiques et de procédés oxydatifs afin d’améliorer les systèmes de traitement des eaux usées municipales et industrielles ou remplacer les technologies conventionnelles peu efficaces pour enlever les contaminants organiques réfractaires, inorganiques et microbiens. Il comprend 4 installations : a) Unités de traitement et de pilotage de type laboratoire, b) Unités d’instrumentation de type analytique, c) Montage des unités, stockage des réactifs, installation de fours et de balances, et d) Labo lourd (unité de pilotage préindustriel)
Le Laboratoire de bio-optique et biogéochimie aquatique permet d’effectuer des recherches sur les effets des changements climatiques et du dégel du pergélisol sur la dynamique de mélange et la transparence de l’eau en milieu lacustre, et leurs multiples conséquences sur le réseau alimentaire microbien, les émissions de gaz à effet de serre et l’habitat oxythermique. Les recherches effectuées avec cette infrastructure portent également sur le développement d’outils optiques pour la détection précoce des fleurs d’eau d’algues et de cyanobactéries et autres problématiques liées au brunissement des eaux.
Le laboratoire Yargeau pour le contrôle des contaminants d'intérêt émergent est implanté à l'Université McGill grâce à un financement octroyé par la Fondation canadienne pour l'innovation (FCI) et par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG). Ce laboratoire à la pointe de la technologie est la solution à tout besoin de recherche relatif à la présence, au devenir et à l'élimination des contaminants lors du processus de traitement des eaux usées. On y retrouve : LC-HRMS; Microtox; Système accéléré d'extraction de solvant; système d'extraction par micro-ondes; extraction en phase solide.
Les chercheurs du Laboratoire de génie de l'environnement ont comme mission d'acquérir des connaissances permettant d'améliorer la qualité de l'environnement. Particulièrement, ils œuvrent dans 2 axes de recherche majeurs, à savoir le développement de technologies environnementales novatrices de réhabilitation des milieux contaminés, et la caractérisation des milieux contaminés.