Ce laboratoire pilote offre à la communauté scientifique et à l’industrie son expertise multidisciplinaire et ses équipements de pointe pour le développement et la mise à l'échelle de procédés de fermentation ainsi que la récupération, la purification et la caractérisation de divers dérivés microbiens. Sa vocation première est la R&D dans le domaine des biotechnologies, et tout spécialement les produits à valeur ajoutée utilisant des résidus putrescibles comme matière première.
Analyse des métaux traces dans des échantillons liquides ou solides (tissus biologiques, matières en suspension, sédiments, sols) et analyse bio-optique. Les recherches portent sur le cheminement des métaux toxiques dans la chaîne alimentaire, la biodisponibilité des contaminants, les impacts des activités anthropiques et l’évaluation de la sensibilité du milieu naturel. Les principaux équipements sont les suivants : Compteurs de particules et de radioactivité (émissions bêta et gamma); Spectromètres d’émission atomique et de masse, par plasma à couplage inductif (ICP-AES et ICP-MS); Appareils de chromatographie liquide, gazeuse et ionique (HPLC, LC-MS-MS, GC, GC-MS); ICP-MS couplé à un HPLC; Analyseur de mercure.
Le laboratoire est doté d’un cytomètre BD LSRFortessa à quatre lasers qui permet d'effectuer des analyses multiparamétriques de haut niveau pour caractériser des populations cellulaires. Un cytomètre BD FACS Calibur à deux lasers permet d’effectuer des analyses de routine telle l’expression de marqueurs de surface. Le système de microscopie confocale Zeiss LSM780 est quant à lui un instrument de pointe permettant l’étude de divers processus biologiques sur plans cellulaire et subcellulaire tels le « trafficking » intracellulaire et la localisation de molécules d’agents pathogènes.
Le laboratoire en écotoxicogénomique et perturbation endocrinienne (LEPE) regroupe l’expertise, les connaissances, l’infrastructure et l’instrumentation nécessaires pour tester les effets des contaminants sur la santé des organismes vivants. Les expériences se font en laboratoire, en microcosme, en mésocosme et sur le terrain. L’équipe développe des biomarqueurs uniques pour chaque espèce visée afin de comprendre et valider les mécanismes d’action des contaminants. Le groupe est également spécialisé dans l’étude des perturbateurs endocriniens et possède, entre autres, des lignées cellulaires ultra-sensibles qui permettent d’identifier les contaminants capables d’altérer la réponse hormonale.
Ces laboratoires permettent d’analyser des échantillons d’eau par colorimétrie, fluorométrie, spectroscopie, radioisotopie et chromatographie, ainsi que d’analyser les composés organiques et les métaux traces présents dans différentes matrices (eau, effluents, boues d’épuration, sols, sédiments, tissus biologiques), et enfin, d’analyser les éléments présents dans des échantillons solides (roches, sols, sédiments, boues). Scanographie par microfluorescence X : Analyses non destructives par radiographie couplées à l’analyse chimique par microfluorescence X de roches, de sols et de sédiments. Microscopie électronique à balayage : Production d’images en haute résolution de la surface et de la composition d’un échantillon à l’aide d’une technologie utilisant les interactions électrons-matière.